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Retour sentimental vers les fabuleuses et incomparables terres dévoluardes où nous avons vécu durant quelques 13 années face aux rigueurs sibériques de l’hiver, cet hiver où Guilhem a été conçu entre stalactites glacées, calcaire vertigineux et loups faméliques, ces hivers où la neige se déblaye par containers entiers et ces étés où la brebis est reine et le soleil omniprésent, ricochant sur la pierre et faisant de chaque randonnée une aventure transsaharienne …

Retour vers ces visages et ces endroits bien connus marqués du sceau du courage et de l’altitude, nos 3 jours nous ayant permis de ne voir que trop peu de monde, Florence (la fée capillaire), Joseph (l’Alambic du Piboulas), Astrid et Gilbert (anciens pompistes), Mamie Cocotte (Marmitonne, et la tonne n’est pas de trop), Carly (l’inoxydable), Véro et Emilie (les Superdévoluables), Patrick (ex-policeman), Fanny et Jonathan (jeunes entrepreneurs en herbe haute) pour ne citer qu’eux, les points de jonction étant situés cette fois au bois d’Aurouze, plus précisément vers les centres névralgiques du 7 Cinquante et du Dahu …

Petite dégringolade historique vers le centre de la France, Bourges, cette satanée Ouverture par laquelle on se doit de voir cette #!!~&*% de lumière avec son impressionnante cathédrale inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, son horloge astronomique et ses étranges méridiennes horizontales et verticales dignes d’un roman de Dan Brown, l’inventeur très contesté du célèbre Brownie ...

Mention excellente au Shanghai Wok et à son buffet où tout s’y trouve à volonté et à profusion, punch, vodka, vins, boissons, entrées, plats divers, desserts, confiseries, gentillesse et caetera …

Délectation finale avec notre sémillante nonagénaire quasi-centenaire en fugue ce jour-là vers une contrée arabique, l’authentique restaurant girondin le « Tunis Carthage 2 », son sympathique gérant, sa cuisine savoureuse, son couscous inégalable et son thé véritable ( gratifié à juste raison d’un 9,8/10 attribué in situ devant le patron himself lequel semble s’être ingénié à satisfaire notre tunisienne de souche ).